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Thursday, February 24, 2011

Lheure du boeuf

Lheure du boeuf


[Yaoi] Queer as Folk – Saison 1


août 5th, 2012 by Plumy


Je ne suis vraiment pas portée sur les séries avec de vrai acteurs. J’ai déjà du mal à écouter des animés alors que j’adore le simple fait de voir les dessins, alors des gens en 3D, quelle idée ! J’ai bien écouté quelques séries médicales suite à mon ancien jobs (Dr House, Scrubs… J’apprécie particulièrement scrubs) mais ça s’arrête la. Je suis de la génération Buffy / X files mais je ne les ait pas regardé (et je regrette), je n’ai vu aucune de ces séries qui font le buzz comme Big Bang théorie, how i meet your mother, Merlin, Supernaturals, et tant d’autres que je ne vais pas lister mais que je connais de nom sans savoir ce qu’il y a dedans et sans me sentir attirée. Ah, j’ai regardé la saison 1 de the it crowd et j’ai adoré. Bref, vous voyez le tableau.


Et la, en 10 jours, je viens de me manger la saison 1 de Queer as Folk constituée de 22 épisodes de 50 minutes (et j’en a 4 autres derrière qui attendent)


Ça fait un bon moment que j’avais les DVD de la saison 1, 2 ans ptêtre ? Pas mal de monde dans mon entourage avait écouté cette série, et je me suis sentie assez attirée par acheter la 1ere saison. Après tout, une série qui parle exclusivement de personnages gays, je ne pouvait qu’être intéressée. Mais le problème, c’est que quand on lance le 1 er dvd et qu’on a un générique comme ça :


Suivi de scènes de cul chaud bouillant dans un univers de mecs gays portés quasi exclusivement vers les sorties en boite et la baise, on se sent un peu comme ça :


J’ai donc reposé les dvds dans un coin et ne m’y suis réinteressée que parce que ma copine était en train de les dévorer à vitesse grand V et en chantait les louanges. Un peu désœuvrée et n’ayant rien de mieux à faire, je me suis pourquoi pas ? Je retente le coup.


Le 1 er ressentit à été le même, car effectivement, il faut passer les 10 premières minutes vraiment surprenante pour commencer à s’attacher aux personnages qui font tout le sel de cette série. L’une des choses qui me chagrinait particulièrement en fait, c’était le coté « voilà, c’est une série avec des gays, alors forcement, ce sont des fêtards qui ne pensent qu’à baiser ». Cette association automatique m’ennuyait pas mal, mais cette image vient non seulement être nuancée par le couple de lesbiennes, mais surtout en réfléchissant un peu, on se dit que oui, ce sont effectivement des personnages, et ce n’est pas parce qu’ils sont ainsi que la série veut dire que tous les gays sont comme ça. Mais quitte à faire une série sur une bande de gays, autant y aller fort dans les clichés et les développer.


L’histoire se passe à Pittsburgh, aux États-Unis, visiblement un coin un peu paumé, mais ça reste une ville assez active avec un quartier gay assez conséquent. Le héros de cette histoire… Hum, je dirais que nous avons Brian en personnage principal autour de qui tout tourne, entouré de Mickael et Justin, et ensuite les personnages un peu plus secondaires (mais toujours très présent et importants).


Le premier épisode nous présente le quatuor de personnages principaux, à savoir Brian, Mickael, Hemmet et Ted, et bien vite Justin, le petit jeune qui découvre son homosexualité et vient pour la première fois trainer dans le quartier gay. Il se fait repérer par Brian qui l’accroche bien vite et le ramène chez lui. Leurs préliminaires sont coupés par un appel téléphonique : Lindsay, meilleure amie de Brian et accessoirement lesbienne vivant avec Melanie, vient d’accoucher de « leur »fils, Brian ayant en effet été le donateur de sperme. Son meilleur ami Mickael est présent (il est toujours présent pour lui, j’y reviendrais plus tard). Brian va bien angster sur la responsabilité indirect de ce fils, se prendre quelques drogues et rentrer chez lui pour se défouler en baisant le gamin ramassé plus tôt.


Bon voilà, on a les bases de l’histoire. De nombreuses problématiques vont être développées tout au long de la saison, tout comme des relations. Certains thèmes sont directement lié à l’homosexualité, d’autres non. Pour commencer, je pourrais parler du quatuor d’ami :


man

Brian : Personnage fantasque au possible, il travaille en tant que publicitaire. Il est indépendant, terriblement égoïste, et lache toujours ses pôtes pour aller baiser un coup d’un soir. Il est également d’une cruelle sincérité, il ne sait pas mentir et dit toujours ce qu’il pense, quite à blesser son entourage. Un comportement que l’on peut associer à celui d’un ado qui centre sa vie sur lui même sans penser aux autres. Lorsqu’il se soucis des autres, il le fait en cachette sans parvenir à assumer les liens amicaux et amoureux. Il cache de profondes blessures qui seront évoquées un peu plus tard sans la saison. L’un de ses left motiv est « L’amour, c’est pour les héteros », suivi de très prêt par « i do what a want » et « fuck off » (La première réplique est seulement dans l’attitude, ok).


Mickael : Le saint bernard. Il travaille dans un supermarché bas de gamme et personne au travail ne connaît ses préférences sexuelles, ou le connaît tout court. Le brave gars gentil que tout le monde aime et qui a un cœur en or et dont le meilleur ami est ce connard de Brian qui se sert de lui tout en l’aimant en retour. Une relation complexe, ambiguë et parfois toxique qui va faire vivre des hauts et des bas à ses 2 protagonistes mais aussi à leur entourage. Accessoirement, Mickael est un grand gamin passionné de comics books, un vrai nerd qui dans les situations graves va sortir une références sur tel ou telle scène de comics. J’adore.


Emmet  . Mon ptit chouchou, la grande folle de la bande et qui s’assume comme tel. Maniéré, délicat, mais sachant être dur et raisonnable quand il le faut, Emmet est un personnage adorable à plusieurs facettes qui passera dans une phase assez particulière à un moment de la saison. Il est aussi prétexte à 2 épisodes assez loufoques qui traitent pourtant de sujet assez réfléchi (je pense surtout à celui ou il s’imagine discuter avec son « moi » virtuel qui fait des choses dont il n’est pas capable, du moins le pense t’il). Il est passionné de films de culs et de films à l’eau de rose auquel il fait souvent référence.


Ted : Ce bon vieux Ted, toujours le même. Le mec le plus chiant et le plus rangé du groupe, mais également une personnage d’une grande gentillesse et d’une grande sensibilité.


Tous les 3 traînent un sacré coté « looseurs », persuadés qu’ils ne plaisent à personne et sont condamnés à se prendre des vestes, mais c’est plutôt qu’ils vivent dans l’ombre de Brian qui dispose quand même d’un sex Appeal avec un grand A qui éclipse facilement ceux qui les entoure. Mickael est un peu le centre de leurs relations, mais Emmet et Ted sont un duo d’amis très proches également. Brian est principalement ami avec Mickael et charrie les 2 autres.


Justin est le petit nouveau de la bande, le gamin dépucelé par Brian qui va très vite prendre de l’assurance et surtout s’incruster un peu partout. Il va s’incruster dans la bande d’ami, chez le couple de lesbiennes en devenant ami avec elles, au bar de la mère de Mickael ou il finira par travailler et d’autres choses encore. Grande gueule, à l’aise, il reste un adolescent de 17 ans même s’il se montre à plusieurs reprises très mature. Il vient d’une bonne famille et fréquente de ce fait un établissement privé ou ses préférences ne sont pas forcement tolérées et vont d’ailleurs lui causer de nombreux soucis. Il dessine et souhaite en faire son métier.


Personnage très secondaires mais que j’adore lié à Justin, Daphnée . sa meilleure amie à qui il raconte ses coucheries et ses aventures au pays des gays et qui est totalement à l’aise avec ça. On la voit peu mais elle est vraiment chouette.


Vient ensuite le couple de lesbiennes, Lindsay et Mélanie . Elles symbolisent un peu le couple stable et rangé et à travers elles vont être traités d’autres sortes de problèmes dans l’histoire. Mélanie travaille dans le droit – ce qui sera fort utile à plusieurs reprises – et est une proche amie de Ted.


At last but not least vient Debbie . la mère de Mickael, terriblement fière de son fils qui le soutient totalement au point d’en avoir fait le point central de sa vie. Elle travaille dans un bar gays ou elle arbore une veste couverte de badges sur le ton « je suis fière de mon fils gay ». Excentrique, elle est un peu la maman de tous les gays. C’est un personnage adorable qui sera une oreille attentive face aux questions existentielles de la mère de Justin au début. Elle s’occupe également de son frère gay et VIH, Vic . un homme d’une cinquantaine d’année dont la maladie se lit sur le physique qui est un personnage certes secondaire mais très attachant lui aussi, il aura d’ailleurs droit à une petite partie centrée sur lui vers la fin de la saison.


Tout au long de la saison, c’est une relation ambiguë qui va se tisser entre Justin et Brian. Brian est autant son amant que son maitre à penser ou son étoile dans le ciel. Il ne cache pas son affection pour lui, ne lui cours pas vraiment après mais reste néanmoins toujours dans le coin, agissant comme un petit ami, plus ou moins. Cette situation se met en place après les 8 premiers épisodes durant lesquels Justin est surtout dans un rôle de stalker obsédé par Brian. Mais certains événements vont faire que Brian va faire un pas vers lui, le pas décisif qui confortera Justin dans son obstination.


Du coté de Mickael et Brian, c’est une relation très particulière, une bromance ambiguë. Il leur arrive régulièrement de s’embrasser sur la bouche mais de manière « amicale ». Il est clair comme de l’eau de roche que Mickael est amoureux de Brian mais ils restent amis. Lorsque Mickael va finalement se trouver une relation stable et sérieuse avec un kine d’une 40ene d’années, Brian va évidemment chercher à foutre la merde dans leur couple, de manière consciente ou non, comme il cherche à foutre la merde partout ou les regards se détournent de lui.


Et pour parler de la relation entre Justin et Mickael, difficile pour eux d’êtres amis alors qu’ils se disputent la « propriété » de Brian. Ça en fait des tensions tout ça.


Comme je disais, les thématiques développées sont très nombreuses. A froid, je peux citer la drogue, l’homophobie des flics, le droit au mariage des gays lorsque Lindsay constate avec amertume que sa sœur s’est mariée 3 fois et que ça ne gêne personne alors qu’elle même vit avec sa compagne depuis 6 ans sans avoir ce droit (Étant dans le même cas, j’ai évidemment empathisé à mort), le comportement à avoir face aux injustices de ce genre, la relation parent / enfant sous toutes ses formes (que ce soit pour leur avouer l’homosexualité, ou ce qu’on leur doit, ou encore le fait qu’ils restent nos parents même s’ils ont toujours agit comme des salauds), comment un parent peut réagir face à un enfant qui se révèle gay et toutes les interrogations qui vont avec, la manière dont on peut / doit se comporter au travail (cacher ou pas son homosexualité) avec tout ce que ça importe, le moment ou il faut savoir se ranger (ou pas) passé un certain âge, la problématique des droits sur l’enfant par rapport à Gus, sur lequel Melanie n’a aucun droit malgré le fait qu’elle soit sa 2eme maman, les changements qu’apportent un enfant au sein d’un couple, la problématique des hommes gays mais qui ont fondé une famille, l’équilibre dans un couple dépareillé (Grande différence d’age et de niveau social), et je vais arrêter ma petite liste la. Pas mal de sujet liés à l’homosexualité donc, et d’autres qui sont communs à tous les êtres humains.


L’une des principales qualité de Queer As Folk – pour moi, pas sur que tout le monde apprécie ce genre de caractéristique – c’est son coté « extrême » en toute choses, particulièrement pour le personnage de Brian qui est extrême dans ses actes et dans ses sentiments. Les événements gardent une portée très réaliste, sans hésiter à aller vers des choses graves et sérieuses, mais sans en faire trop. Les relations entre les personnages sont travaillées et tissées telle une toile d’araignée, ce qui donne une grande cohérence aux relations entre les personnages. En regardant Queer as Folk, vous vous exposez à du ANGST a très haute dose mais c’est ça qui est bon.


Il y a un coté très « yaoi » à cette série également, Brian dégotant des gays partout ou il passe, mais on va dire qu’il a un gaydar extrêmement développé, ou que son charisme dévergondé même les hétéros. Mais bon, ça passe quand même !


Pour la culture générale, précisons au passage que la série dont je parle est une série americano-canadienne qui est en fait une reprise d’une série anglaise du même nom mais dont le scénario diverge. La version « originale » était visiblement plus crue visuellement, plus cocasse, et Justin y avait tout juste 15 ans, rendant la relation avec Brian impossible (bon, je dis ça mais j’en sais trop rien, je n’ai pas cherché à regarder cette série. Peut-être plus tard mais j’ai très peur d’être déçue surtout que je suis imbibée des personnages de la version americaine)


TL;DR


Pour résumer Queer as Folk, at first i was like

Friday, February 18, 2011

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Friday, February 11, 2011

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Wednesday, February 9, 2011

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Tuesday, February 8, 2011

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Wednesday, February 2, 2011

Journal of Popular Romance Studies

Journal of Popular Romance Studies


About the Journal


Romantic love permeates popular culture, and it has for centuries. We hear the discourse of romance in love songs, love stories, and advertisements; in political debates; in advice columns and self-help books; in Disney movies and young adult fiction; in celebrity culture and fandom; and in the semiotic codes and lived decorum of real-life relationships, from hook-ups to break-ups. We understand our own affective lives in terms derived from the culture industry of romantic love, where even singleness is framed in terms of love or its absence.


In every medium and genre, love stories give shape to our narratives about the past (historical romance), the present (is love in crisis, yet again?), and the future (what will romantic relationships look like, centuries from now?). But academic investigations of romantic love and its related topics like gender, sex, relationships, sentiment, and intimacy have long been isolated from one another, both geographically and by discipline.


All articles published in JPRS are blind peer reviewed by at least two external academic referees. For a full description of our review procedures, current calls for papers, and a list of topics of interest, please visit our Submissions page .


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The Journal also welcomes reviews of relevant scholarly works, along with interviews, pedagogical discussions, and other material of use to scholars and teachers in the field of Popular Romance Studies.


For further information, please direct your inquiries to managing.editor@jprstudies.org .

Best Guys - Hot House maskurbate

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